Un qui savait se battre (libre)

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Ron était accroupi dans un couloir guère fréquenté. Il avait sa main posée sur son visage, un filet de sang coulant entre ses doigts. Ce maudit sportif, cet arriéré du bulbe l'avait regardé de travers et bien entendu Ron avait démarré au quart de tour. Il s'était jetté sur l'inconnu le rouant de coups. Pas de chances pour lui, l'autre étudiant savait se battre et s'il était parti avec un oeil au beurre noir, Ron lui s'était éclipsé le nez en sang.
Il ôta sa main de son visage et regarda en fronçant les sourcils le liquide chaud et vermeil qui gouttait dans la paume de sa main. Il lâcha un juron bien senti à l'adresse de l'autre étudiant qu'il n'allait pas croiser de sitôt. Le jeune homme plongea sa main dans son sac et en sortit un paquet de mouchoirs jettables. Il en déplia un et commença à essuyer le sang qui avait coulé sur son menton. Ron avait l'habitude de ce genre de blessures bénignes mais ô combien agaçantes. Une fois nettoyé sommairement, il posa son index sur sa narine qui donnait à plein régime et bascula la tête en avant en attendant que le saignement cesse.

Avec dégout il fixa encore sa main qui était rouge. Il soupira en arborant un étrange sourire. Se battre et avoir mal...rien de tel pour se sentir vivant. Des mouchoirs chiffonnés et rougis jonchaient le sol autour de lui. Si quelqu'un passait par là, il allait avoir une drôle de surprise, surtout que Ron ne bougeait pas d'un cil. Des pas se firent entendre, se rapprochant. Quel était le sombre idiot qui venait dans sa direction et surtout l'inconscient qui allait déranger Ron en train de panser ses plaies, seul, comme d'habitude.

Serena marchait tranquillement, elle aurait du être en cours mais en voyant l'interro surprise elle avait pretexté se sentir mal et la prof l'avait laissé sortir pour aller à l'infirmerie. Elle marchait le plus lentement possible et passa par un couloir où elle ne passait jamais, d'habitude. Il était desert à premiere vue mais Serne aperçut quelqu'un accroupi, la main sur son visage.
Elle s'approcha et vit la situation du jeune homme. Elle sursauta. Elle s'approcha.

-Euh ... ça va ?

Elle se sentit bête, mais pourquoi elle avait sorti ça ?

-Enfin, je veux dire ... Je vois bien que ça ne va terrible mais ... qu'est-ce qu'il s'est passé ?

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Le doigt appuyant sur sa narine, Ron entendit une fille lui parler. S'il avait pu il aurait émis ce reniflement méprisant qu'il avait coutumee de faire lorsque quelqu'un le dérangeait. Il leva ses yeux cristallins tout en gardant la tête baissée. Ron haussa les sourcils en voyant Serena. La princesses sétait perdue? Elle allait rencontrer la plèbe. Avec précaution il ôta son dogt, son nez ne coulait plus c'était déjà ça en moins à supporter. Son tee-shirt était fichu mais il n'avait rien de cassé. Le sang qui avait coulé de son menton à son cou avait séché. Bref, Ron avait toute les apparences d'un serial killer plutôt que d'un étudiant. Il se leva en prenant appui sur le mur. Ce crétin de sportif en avait profité pour lui filer un coup dans les côtes. Il allait avoir une belle ecchymose dans un magnifique camaïeu de violet le lendemain.
Ron s'avança vers la jeune fille, le regard rivé au sien. Sa voix rauque et éraillée aux accents mielleux résonna ou plutôt ronronna, car parfois, en entendant Ron on avait presque l'impression d'écouter un animal qui essayait de parler.

"On t'a jamais appris à dire bonjour avant de déranger les autres?"

Il était rare que les propos de Ron soit en accord avec sa voix, en voici la preuve flagrante. D'une voix agréable que l'on presque qualifier de sexy, il proférait des méchancetés et des vannes à la vitesse de l'éclair. Il pencha la tête de côté, sans quitter des yeux Serena, les sourcils levés en indiquant du menton le tas de mouchoirs;

"Bien sûr que ça va. Quand à ce qu'il s'est passé je ne vois pas en quoi ça te concerne."

Serena observa le T-shirt de Ron. C'était ... Comment dire ? Degoutant ? Oui, ça devait être ça, c'était degoutant. Mais Serena ne faisait pas partie des filles qui piquer un sprint pour se refugier sous les jupes de leur maman dès qu'elle voyait une goutte de sang. Serena n'était pas dutout, au contraire, adolescente, elle s'était mutillée les veines, elle avait donc appris à voir le sang comme du liquide rouge quelquonque.
Elle regarda Ron s'avancer vers elle et lui parler. Quelle voix ! Si il avait dit autre chose, Serena serait aussitôt tombé sous le charme. Mais après ce qu'il avait dit, il n'y avait pas de quoi !
Elle soupira, si il ne voulait pas de son aide, tant pis pour lui. Et puis, il avait parfaitement raison, ça ne la regarder pas.
Elle prit un ton de petite garce pretentieuse pour lui repondre :

-De toute façon je n'ai pas que ça à faire, d'aider des gars qui ont un âge mental de 5 ans, il joue encore à la bagarre. A croire que ça les amuse de souffrir.

Elle reprit un ton normal.

-J'vais à l'infirmerie, t'as cas m'accompagner, si tu veux.

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Ron fut un peu déçu de ne pas voir Serena s'enfuir en courant en voyant le sang qui maculait ses vêtements et son cou. Les jeunes filles n'étaient plus ce qu'elles étaient. L'animal en lui aurait adoré la voir tourner les talons pour aller se réfugier dans un autre monde où les garçons plein de sang n'existaient pas. Il eut une petite moue dubitative aux paroles de Serena. C'était quoi ce ton qu'elle employait avec lui?! Une bouffée de colère commença à gonfler en lui, comme une colonne de flammes s'enflant, s'enflant et s'engageant dangereusement dans une cheminée ou une conduite étroite.
Ron prit une profonde inspiration pour chasser cette rage toute animale qui menaçait d'exploser. Son regard brilla quelques secondes d'une lueur presque maléfique avant que le calme ne reprenne le contrôle de ses iris cristallins. Il n'allait quand même provoquer d'esclandre aujourd'hui et frapper une fille, même si c'était très amusant, ne l'intéressait pas...pour aujourd'hui. Il haussa un sourcil sans quitter du regard Serena. Il fit un pas vers elle et lui ronronna doucement.

"Tu ne crois pas si bien dire ma belle. Souffrir...voilà l'une des rares choses qui nous permettent d'affirmer que nous sommes vivants."

Il fit un nouveau pas vers elle, arrivant à sa hauteur, les yeux rivés aux siens. Ron déshabilla littéralement du regard la jeune femme et poursuivit sur un ton onctueux, mielleux et lourd de sous-entendus.

"T'accompagner à l'infirmerie? Pourquoi pas...la route est longue qui sait ce qu'il pourrait arriver en route."

Serena le regardait dans les yeux, impassible. Souffrir, si il aimait souffrir, et apparament, faire souffrir aussi, alors c'était une brute. Il s'avançait vers elle. Elle ne dit rien, ne bougea pas.

-Souffrir signifie parfois qu'on en plus pour longtemps à vivre.chochota-t-elle.

Il était si proche d'elle, maintenant. Il la deshabilla du regard, chose que Serena n'aimait pas du tout. Elle l'ecouta continuer à parler et frissona. Elle detourna les yeux et commença à marcher, il la suivit.
Elle ne se sentait pas, mais alors, pas du tout en securité avec lui. Mais pourquoi elle était allé le voir ? Elle était c*nne, le pire, c'est qu'elle ne s'en rendait compte que maintenant. Elle changea de sujet.

-Autant te le dire tout de suite, je dois aller à l'infirmerie car je ne me sens "soi disant" pas bien.

Elle lança un court soupir.

-Il y avait une interro surprise en Maths.

Elle lui lança tout d'un coup un regard interogateur en haussant les sourcils.

-Alors, qu'est-ce qu'il t'es arrivé ?

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Il n'y avait pas beaucoup de personnes qui étaient à l'aise auprès de Ron. Sa voix, ses attitudes, ses gestes et surtout son regard, tout en lui inspirait la méfiance. Il avait vraiment des attitudes animales, celles d'un prédateur. Lorsqu'il marchait il semblait presque onduler comme un félin, il n'était pas rare de l'entendre gronder ou ronronner.

Dans l'esprit de Ron, la souffrance avait une place bien particulière. C'était un signal d'alarme pour le corps mais en même temps la preuve irréfutable que les nerfs réagissaient toujours et donc que l'on était vivant. Il avait appris à l'apprécier, à l'apprivoiser et à utiliser la douleur comme une force et non comme une faiblesse. Dans une bagarre, Ron n'était pas celui qui abandonnait parce qu'il avait mal. Il était plus endurant que les autres. Une seule chose au monde l'effrayait, l'absence de douleur et de tout. Comme cette fois où son père l'avait enfermé dans sa chambre noire de photographe et l'y avait laissé. Se trouver au milieu du silence, dans des ténèbres insondables, sans bruit, sans douleur avec uniquement les battements de son propre coeur résonnant dans la tête, c'était cela la pire chose au monde pour Ron.

Serena avoua à demi mot qu'elle avait simulé un malaise pour s'échapper d'une interro. Le sourire malveillant de Ron s'élargit. Il était tombé sur une comédienne...docilement il la suivit, appréciant les courbes féminines de Serena tandis qu'elle ne le voyait pas. Lorsqu'elle se retourna pour lui adresser la parole, il afficha un air détaché. Ron aussi savait jouer la comédie et il n'était pas mauvais dans ce domaine. Du bout des lèvres, avec sa voix ronronnante presque langoureuse il lui répondit doucement et lentement.

"Ce qu'il m'est arrivé? Bah, un abruti m'a cherché et m'a trouvé. Il est parti avec un oeil au beurre noir et moi avec le nez en sang. Match nul. Alors comme ça toi tu rates volontairement des interros? C'est pas très sérieux...surtout pour une nana qui appartient à ce clan qui doit véhiculer une image positive du campus."

Ron n'appréciait que modérément les bimbos et autres pom pom girls. Pour lui elles étaient toutes des bécasses sans cervelle qui n'étaient bonnes qu'à gesticuler de façon ridicule devant des Adonis ayant troqué leurs neurones pour du muscle.

Serena sentit le regard de Ron poser sur elle lorsqu'elle était de dos à lui. Elle allait ralentir l'allure pour être à son niveau mais il le fit lui même pour lui repondre.
Apparament, il avait l'air d'être simple à trouver ce gars. Match Nul. Il contait surement recommencer dans ce cas là. Il faisait surement parti des Bad's. Serena n'aimait pas se battre. Quand quelqu'un la chercher et qu'il la trouver (ce n'atit pas bien difficile), elle avait d'auyre moyen de torturer cette personne. Serena était très populaire, autant dire que tout ce qui sortait de sa bouche était vrai.
Oui, elle avait loupé une interro et alors ? Elle repondit, du tac au tac.

-Les Pom Pom ne sont pas toutes des blondes siliconnées sans aucune cellule grise. Contrairement à ce que tu crois surement, je n'ai pas 0 de moyenne, il se trouve juste que l'interro était une interro d'Histoire et que je deteste cette matiere.

Elle realisa soudain qu'elle ne savait même pas comment s'appellait le jeune homme en face d'elle. Elle repondit d'un ton plus "normal".

-J'm'appelle Serena, comme t'as du le comprendre je suis Pom Pom Girl ... Tu es ... ?

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Lire le semblant de colère qui était apparu sur le visage lisse te parfait de Serena provoqua une joie intense accompagnée d'un sentiment de satisfaction à Ron. Il adorait mettre les gens en colère et lorsque ces derniers sortaient de leurs gonds pour s'en prendre à lui il avait une raction curieuse. Sous les coups qui pleuvaient il éclatait de rire, accentuant encore la rage qui brûlait chez son adversaire. Il retint un éclat de rire en voyant la mine austère de la jeune fille. Et en entendant ses paroles...

Ron avait envie de lui rétorquer que si une matière était fondamentale c'était bien l'histoire. Il adorait l'histoire, beaucoup de personnes oubliaient ce qu'il s'était passé auparavant. Cette matière permettait de jetter un regard en arrière, de grandir et d'apprendre des erreurs des autres. Mais Ron s'abstint de tout commentaire, gardant sa langue derrière ses dents et son venin dans sa gorge.
La jeune fille se calma soudain pour lui demander de se présenter. Ainsi donc, elle s'appelait Serena. Comme celle qui faisait du tennis. Un joli prénom mais Ron s'en fichait dans sa plus pure attitude nihiliste. Il enfonça ses mains dans ses poches et fixa la jeune femme la tête un peu penchée. Son regard azur et limpide brilla légèrement et il répondit simplement, en un murmure presque inaudible.

"Enfin tu t'intéresses à moi. Je m'appelle Ron."

Serena fut consciente que Ron desapprouvait une des choses qu'elle venait de dire. Mais quoi ? Elle ne chercha pas bien longtemps, constatant qu'elle ne trouverait pas, et n'ayant pas envie de lui demander.
Il enfonça les mains dans ses poches, chose que Serena avait perdu volontairement l'habitude de faire il y a quelques années.
S'enfoncer les mains dans les poches, pour elle, elle s'en était aperçut, c'était du je m'en foutisme. Tout le monde ne pensait pas les mêmes choses, aussi, elle ne dit rien.
Elle entendit un murmure de la part de ce gars et mit une ou deux secondes à comprendre que c'était un phrase [Eh oui, mon perso est un peu sourde ^^]. Une fois passer le temps que ça monte à son cerveau et que celui-ci l'analyse, elle hocha la tête.
Elle passa la main dans se cheveux mais ne dit rien.

[Hors-RPG : Pas d'idées de dialogue ...Et petit post, dsl.
Euh, ben j'en sais rien ... Moi j'suis plutôt contre (c'est pas contre toi mais je considere ça comme un pv) mais demande à Ron ... ]

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Il continuait à avancer comme si de rien n'était. Un silence s'était installé entre Ron et Serena. Un silence pesant, qui ne mettait pas forcément à l'aise.
Le jeune homme avait l'habitude de ce genre de choses, il n'était pas d'un naturel bavard, loin de là. Ron gardait jalousement ses petits secrets, personne ne pouvait se vanter de le connaître. Il alternait les attitudes sociables avec une froideur rarement vue. Le feu et la glace. Noir ou blanc. Jamais de demie mesure ou de demie teinte. Il se considérait comme un animal, et un animal ne s'embêtait pas avec des sentiments, un animal pensait simplement mais efficacement.
Ron aligna son pas sur celui de Serena. La bouche en coeur il commença à siffloter un petit air connu de lui seul. Les couloirs se succédaient, l'infirmerie approchait. Finalement, il se dit que c'était une mauvaise idée d'y aller, pour lui. On allait lui poser des questions, lui demander des choses auxquelles il n'avait nulle envie de répondre. Lentement il ôta ses mains de ses poches pour tâter son nez. Il n'y avait rien de cassé et la coupure qu'il avait sur l'arête avait cessé de saigner. Il prit le bras de Serena et lui demanda, pour briser la glace plus que par coquetterie.

"Je suis bien amoché ou pas? Je préfèrerais éviter les questions de l'infirmière-inquisitrice. Si d'après toi c'est pas grave, je fais l'impasse."

HRP : Perso ça me dérange pas ^^

Serena était absorbée dans ses pensées, elle pensait à David ..; Et à Johanna, evidement. Elle se disait que si Johanna ne l'avait pas aimer et ne l'avait pas chercher, elle ne serait peut-être pas avec lui en ce moment. Quoique, c'était plus David qui considérait qu'ils étaient ensemble, Serena, elle, doutait. Comment d'aimer en un soir ?
Elle fut surprise quand Ron la prit par le bras, elle l'avait totalement oublié. Elle regarda son nez et eu une moue de degout. Il avait raison, l'infirmiere se demanderait comment Ron a pu avoir ça. Surout qu'elle aurait des soupçons et en parlerait au principal si ce n'était pas la premiere que le jeune homme se batait.
Elle regarda sa montre.

-Hum ... C'est vrai que tu devrais éviter d'y aller. Mais moi, je suis obligée, si je n'y vais pas, ils vont se demander où je suis passée ...

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Les questions indiscrètes...voilà quelque chose qui mettait Ron hors de lui, cette manie qu'avaient ses semblables à toujours vouloir s'immiscer dans la vie des autres. Il était clair comme de l'eau de roche que l'infirmier allait lui en poser des tas. Et lorsqu'il se rendrait compte de la psychologie de Ron, il essaierait de l'aider. L'aider...Ron n'avait pas besoin d'aide, on ne peut sauver quelqu'un qui ne le désire pas. Serena réprima une moue de dégout. Ca devait pas être joli-joli à voir. Mais le jeune homme s'en fichait, depuis quand il devait plaire à quelqu'un?
Il haussa les épaules aux paroles de Serena. Qu'elle y aille, elle, à l'infirmerie, il n'était pas sa mère. Lui séchait les cours volontairement et on ne s'ennuyait pas à lui demander pourquoi. Son dossier scolaire devait être aussi épais qu'une édition de Guerre et Paix de Tolstoï, suffisait de l'ouvrir pour se rendre compte qu'il était classé parmi les éléments dangereux et perturbateurs. Il recommença à avancer tout en se tâtant le nez. Faudrait peut-être qu'il pense à nettoyer tout ce sang et rapidement. C'est plus les questions que le regard des autres qui le gênait. Il poussa un soupir avant de poursuivre de sa voix ronronnante.

"Bon et bien, nos chemins vont se séparer ici. Je te souhaite un bon amusement avec l'infirmier et à un de ces jours peut-être."

Serena continua d'avancer vers l'infirmerie. Elle oyait bien que Ron était du genre à se bagarrer tout le temps et à en être fier, Serena n'avait jamais compris les gens comme ça, et ne les comprendrai surement jamais.
Elle l'ecouta et regarda le coulir menant à l'infirmerie puis detourna la tête vers celui où allait Ron. Elle lui sourit.

-Oui ... Eh bien, oui, à un de ces jours !

Elle fit demi-tour et se dirigea vers l'infirmerie.

[dsl si ça fait pas assez de lignes ^^]

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