Après l'ambulance, arrivée à l'hopital

Sharona arriva avec l'ambulance dans l'hopital. Ils étaient pressés ce qui étaient normal, mais Sha' ne les lachait pas d'une semelle jusqu'au moment où une infirmière lui ordonna de rester ici assise et de remplir ce formulaire en attendant.

Après plusieurs protestations, la belle s'assit enfin et regarda la fiche à remplir. Nom de la personne, prenom, age??? Elle ne le connaissait pas du tout, elle ne savait meme pas pourquoi elle l'avait accompagné ici mais quelque chose l'avait inquiété et amené à le suivre.

Elle s'approcha alors de la femme lui expliquant son problème. Jamais Sha' avait été aussi gentille, personne ne l'aurait reconnu.
Après plusieurs paroles, Sharona s'assit et attendit, attendit, attendit.... C'était long mais long!!!

Puis quelqu'un vint la voir, le chirurgien sans doute. OUUUf il n'avait rien de très grave mais pourquoi s'inquiéter telle autant pour un homme qu'elle avait pour ainsi dire rencontrer dans sa voiture accidentée.

Elle alla dans la chambre dans laquelle on l'avait mise et le regarda. Quelque bandage, un platre, il s'en sortait pas mal pour l'accident qu'il avait eut.
Elle décida de s'assoir sur la chaise à côté pour ne pas qu'il se réveille avec personne à côté.Après tout elle n'aimerait pas etre dans cet état avec personne à ses côtés.

Michael venait d'être victime d'un accident. Dans sa tête, il n'y avait que du blanc, il ne sentait absolument rien du tout, il était loin de savoir ce qui se passait. Tout ça était arrivé en un temps record. Comment allait il réagir s'il venait à se réveiller? Il poserait sûrement des questions car il était inconscient même au moment de l'accident. Pour le moment il était prolongé dans le vide absolu. Plein d'émottions pendant toute une journée et d'un seul coup "paff" tout disparaît.

Personne ne devrait être au courant qu'il ait eus un accident car dernièrement Sharon s'en était allée et ses amis étaient occupés à faire autre chose. Si les médecins ne faisaient rien pour lui, il risquerait d'en perdre la vie. Mais heureusement pour lui que l'intervention s'était portée réussie. Ce qu'il en avait de la chance. Et s'il avait succombé...mieux vaut ne pas penser à ses choses là. Qui lui dirait qu'aujourd'hui il allait se trouver dans un lit d'hôpital? Qui lui dirait qu'il allait avoir une dispute avec Sharon et qui lui dirait que sa vie allait être bouleversée du jour au lendemain? La vie était ainsi faite. Elle nous réserve des surprises que l’on n’aurait jamais imaginé un jour. Elle nous montre milles façades aussi différentes les une que les autres.

Michael était maintenant un cas désespéré. Qui aurait cru que pour une fille il allait devenir si mal. Ou était passé le garçon qui ne se laissait pas marcher sur les pieds? Ou était passé le MIchael sûr de lui et qui ne laissait jamais tomber pour un rien. Peut être que cette expérience l'aiderait à tout changer dans sa vie et changer les choses. S'était plutôt facile à dire qu'à faire car tout changer du jour au lendemain était presque impossible.

Il était tombé dans un sommeil profond. Il était toujours inconscient. Une partie de son esprit lui disait de se lever mais une autre lui disait de ne pas se lever et de rester ainsi pour toujours. En étant inconscient, il ne pouvait pas décider mais il ne réagissait toujours pas...

Après un long moment, Michael finit par bouger les doigts de sa main qui était en bon état. IL n'avait pas encore ouvert les yeux cependant mais s'était une bonne chose qu'il ait bougé les doigts. S'était le seul geste qu'il avait pût faire. Il ne réagissait plus.

De l'autre côté, ses affaires étaient toujours restées dans la voiture. Son portable devait sûrement être brisé en mille morceaux. N'en parlons pas de la voiture. Elle était cabossée de partout et la jeter à la fourrière serait la meilleure chose à faire...du moins.

Après un long moment, Sharona s'aperçut que le jeune homme avait bougé ses doigts. Il était bien vivant, dans un état commateux certes mais sans doute pour pas très longtemps.
Elle s'approcha de lui et ne sachant pourquoi elle lui prit la main, essayant de voir si il pouvait réagir.

Son visage était très expréssif et malgrès son état commateux, Sharona arrivait à lire ses expressions. C'était quelqu'un de très tourmenteux et apparament pas très heureux. Mon dieu!! Et si il avait fait ça juste pour mettre un terme à sa souffrance?

Sharona se leva alors tourmenter. Penser à des idées ou meme des actes sucidaires la replonger dans son passé, dans une partie de sa vie sombre très sombre... Elle n'aimait pas repenser à cela. Une larme coula sur sa joue, une larme de quoi? Elle n'en savait rien. Elle se sentait triste sans l'être vraiment, elle se sentait anéanti, sans l'être vraiment. Toute petite elle se posait des tas de questions, elle aurait du arreter car en grandissant des millier d'autres viennent à votre esprit.

Après avoir chassé ses horribles pensées loin très loin enfin peut etre pas aussi loin qu'elle le pensait, elle se rassit dans le fauteuil. Un dernier regard pour le jeune homme puis elle enfouit son visage dans ses mains.

IL était toujours couché sur ce lit sans bouger. Peut être que tout allait s'améliorer d'ici quelques heures. Peut être d'ici quelques minutes, ou quelques jours, on ne sait toujours pas quand est ce qu'il allait se réveiller...

Soudainement il eut une réaction nerveuse mais pas visible physiquement. Il avait prit à demi conscience. Le film était entrain de tourner dans sa tête. S'était vraiment horrible. Il voyait ses images successivement: quand Sharon partait, le camion sa voiture, sa t^te, sa main...Il était entrain de faire un cauchemar. Il y avait toujours une voix qui lui disait quelque chose. Il voyait Sharon qui lui faisait signe de la main pour lui dire Adieu, il se voyait perdre sa place dans l'équipe, il se voyait banni de cette ville pour finir il était tombé dans un gouffre sans retour.

Les réactions commencèrent à être petit à petit physique car il tournait la tête de droite à gauche. Il y avait une gouttelette de sueur qui perlait sur son visage. Il disait dans sa tête.

*Non pourquoi moi? Je ne voulais pas te faire de mal? Pourquoi? Pourquoi?!!...*

Des heures s'étaient écoulaient et il ne s'était toujours pas réveillé. Il était très faible et n'aurait pas assez de force pour pouvoir se lever maintenant. Par contre son cauchemar ne le quittait pas car il était toujours présent...

Une nuit entière venait de s'écouler et il n'avait toujours pas donné signe de vie. Cette nuit a était plutôt mouvementée. Flux et reflux d'images et de sensations.

S'épancher sur nos soucis, nos inquiétudes ou nos épreuves permet bien souvent de les surmonter. Mais c'est parfois oublier les jolis évènements que nous vivons : une belle rencontre, un succès, un sourire chaleureux, une fierté toute personnelle...

Michael avait l'habitude de toujours dire quand il se trouvait dans de telles situations: "Je ne suis pas heureux, et la quête du bonheur comme objectif principal ne fait pas partie de mon univers. Évidemment, depuis que j’ai une certaine notion des choses, je fais ce que j’aimerais faire. J’ai pris des chemins que j’éviterais peut-être si aujourd’hui je pouvais revenir en arrière, mais quelque chose me poussait toujours en avant, et il est certain que ce n’était pas la quête du bonheur. Ce qui m’intéresse dans la vie, c’est la curiosité, les défis, le bon combat avec ses victoires et ses défaites. Je porte beaucoup de cicatrices, mais j’ai vécu aussi des moments qui ne seraient jamais arrivés si je n’avais pas osé dépasser mes limites. J’affronte mes peurs et mes moments de solitude, et je pense qu’une personne heureuse ne connaît jamais cela."

Mais cela n’a aucune importance : il suffit d'être content. Et la joie n’est pas exactement synonyme de bonheur ; celui-ci pour moi ressemble davantage à un morne après-midi de dimanche, dans lequel n’existe aucun défi, mais seulement le repos qui à certaines heures devient ennui, les mêmes programmes de télévision à la fin de la soirée, la perspective du lundi qui attend avec sa routine.

Les gens ont beau se dire heureux, personne n’est satisfait : il faut toujours tomber amoureux de la femme la plus belle, acheter une maison plus grande, changer de voiture, désirer ce que l’on n’a pas. Cela aussi est une manifestation subtile de l’instinct de survie : au moment où les gens se sentiront pleinement heureux, plus personne n’osera se comporter différemment, et le monde cessera d’évoluer.

Mieux vaut oublier cette idée de quête du bonheur à tout prix, et aller chercher des choses plus intéressantes, comme les mers inconnues, les personnes étrangères, les pensées provocatrices, les expériences risquées. D'ailleurs il en a toujours rêvé depuis tout petit. Seulement de cette manière il vivra totalement sa condition humaine, contribuant à une civilisation plus harmonieuse. Bien sûr, tout a un prix, mais cela vaut la peine de payer.

On se demande dès fois pourquoi l'homme ne peut pas désirer l'inconscience. Michael de son côté, la mémoire lui présente ce qui n'est plus avec les regrets et les remords puisque la volonté se brise sur le passé. Alors, elle en vient parfois à envier, à désirer l'inconscience de l'animal qui broute...

Michael s'était toujours demandé pourquoi un chagrin d'amour faisait tant mal. Il savait très bien ce qu'allait être la réponse. Mais il se demandait bien s'il était entrain de vivre ça. En tout cas il s'avait qu'après un chagrin d'amour, on fait une chute d'autant plus vertigineuse qu'on a idéalisé l'autre. Notre princesse charmante nous quitte en détruisant l'image idéaliste de notre fantasme qu'elle nous avait reflété. On est amené à une dure réalité en moins de deux. La rupture amoureuse aurait été plus acceptable si elle n'avait pas été causée par l'autre. C'est comme si notre propre mère nous reniait. Bien sûr une mère ne peut pas renier son enfant, d'ailleurs cela n'arrive jamais. Pourtant la rupture de couple arrive. C'est bien la preuve que la relation avait été idéalisée à l'inverse du reniement parental qui ne se produit jamais puisque les relations sanguines ne sont pas idéalisées; elles sont réelles. La preuve fatale de la rupture amoureuse qui s'est réellement produite nous ramène dans la réalité des choses. Après une rupture, on retombe sur terre face à la dure réalité de notre amour perdu. Surmonter une rupture force à accepter de vivre son deuil. C'est le seul remède pour pouvoir sortir de l'illusion de cette relation passionnée fantasmagorique qui s'avère plus poignante que la réalité. L'illusion était plus forte que la réalité et pourtant on est ramené par la force vers cette dernière.

Mais penser à tout ça ne serait pas une bonne chose surtout quand notre état de santé est en jeu. Comme le lui avait dit un de ses amis, il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veux pas voir. Il ne veut pas voir la réalité des choses. La vie est faite de haute et de bas et on ne peut rien y changer...

Après tout le destin n'est pas écrit il appartient à chacun de le changer.

Toujours pas de réveil mais Sharona ne désespérait pas enfin... Est-ce-que le médecin lui avait réellement tout dit?
Lorsque l'infirmière passa, elle dit à Sharona d'aller s'acheter quelque chose et de décompresser un peu. Il est vrai que la belle n'avait rien avalé mais la faim n'était rien à côté d'une inquiétude inexplicable.

Sha' finit par sortir de la salle laissant l'infirmière regardait toutes sortes de choses que la belle ne voulait comprendre. A quoi servait ce truc et ce truc pourquoi on appelle ça comme ça, trop de questions se posaient dans sa tête pour qu'elle s'arrête sur ce genre de banalité.

Arrivée devant le distibuteur, elle se rendit compte qu'elle n'avait pas faim du tout. Elle regarda sans envie les sandwish qu'il présentait et tout d'un coup, elle se demanda depuis combien de temps ils étaient là. A cette pensée, elle fila vers la machine à café se serait mieux. Elle regarda le choix et prit un capuccino.
Elle en but une gorgée lorsqu'il fut près mais il n'avait rien d'exptionnel. Elle le but sans plaisir puis finit par jetter le gobelet et le fond à la poubelle.

De retour à la chambre, l'infirmière l'attendait. Tiens pourquoi? Elle fit des yeux que telle une infirmière peut faire pour un reproche.
Elle avait rien amngé et alors? Elle n'avait aps faim et ce n'était pas l'infirmière du coin qui allait lui dire quelque chose!!

Li'nfirmière lui parla, de cauchemars, coma, que c'était courant, qu'il allait s'en sortir, que c'était pas grave.... Sharona regarda l'infirmière repartir dans un autre chambre. Elle se doutait qu'il y avait autre chose et ne put s'empecher de dire de penser que dans un hopital l'hypocrisie etait la chose la plus utiliser pour ne pas a avoir consolé quelqu'un.

Elle rentra dans la chambre, toujours ce jeune homme dans le meme état. Mi dans la réalité mi ailleurs. A quoi pouvait-il pensé? Pas à des choses très heureuse remarqua Sharona.
La belle posa sa main sur le front du jeune homme et remarqua avec horreur qu'il y avait de la fièvre.

Elle appuya donc sur la truc pour appeler l'infirmière mais bien sur personne n'arrivait!!! Hypocrites et lentes c'était vraiment impossible!!
Elle rappuya une seconde fois, toujours personne pffff!!
Elle alla donc fouiller dans les placard et y découvrait gant et serviette. Elle s'approcha d'un lavabo et mouilla le gant avec de l'eau froide.
La belle l'essora un peu, le plia et le mit sur le front du jeune homme et rappuya sur la sonnette.

Elle finit par sortir vu qu'il n'y avait personne et remarqua avec horreur que les infirmières blablatés tranquillement. Sharona poussa un scandale et lui dit ce qui se passait l'infirmière avec les autrs bien sur alla voir ce qui se passait. Elle prit la température, ouvrit grand les yeux et dit a l'une des infirmières d'aller chercher une sorte de médicaments.

-Ne vous en faites pas

Fit-elle à Sharona. Elle était incapable et Sharona ne devait pas s'en faire??? N'importe quoi!!
Après avoir mit le médicament dans la perfusion ou elle ne savait ou, les infirmières partirent et l'une d'entre elle lui dit que la fièvre passerait bientot.
C'était bien vrai et Sharona put enlever le gant 1h après.

Elle s'assit dans le fauteuil et le regarda. Si tourmenté, si triste mais pourquoi était-il dans un état pareil? Une perte d'un etre chère? Une rupture? Un ami dans le coma aussi?
Elle approcha le fauteuil près du lit et mit ses bras et sa tête. Sharona était exténuée mais n'était pas décidé à partir.
Elle finit par s'endormir, mais c'était vraiment un sommeil léger...

Il était vraiment mal le pauvre. Il était très perturbé et tout s'embrouillait dans sa tête. Comment allait il réagir s'il venait à se réveiller car là vraiment il était loin d'être en face de la réalité des choses. Le passage dans cette vie misérable n'était qu'un simple éclaircit dans l'évolution de ce jeune homme. L'avènement d'un monde meilleur lui sera d'une grande utilité. Peut être qu'à son réveil après avoir guérit complètement il changera tout sur sa vie. Ou bien que le choc carnier a était d'une si grande importance qu'on ne pouvait rien faire pour lui. Mais heureusement que les infirmière étaient là pour régulariser son état.

Les cauchemars commençaient à le quitter petit à petit car il avait commencé à se calmer. Il ne pensait plus à rien. Comme au moment de l'accident, il y avait du blanc dans sa tête. Mais après un moment de repos nerveux, il finit par tomber dans un profond sommeil. Là il ne faisait pas de cauchemars mais il rêvait des bons moments qu’il avait passé dans la vie. Après tout dans la vie il n’y a pas que de mauvaises choses. Il y a des souvenirs qui seront toujours gravés dans nos mémoires et qui nous rendront heureux même dans les pires moments. Il pensait aux grandes vacances qu’il passait avec ses parents. S’étaient vraiment de beaux souvenirs. Ils sortaient de la ville étouffante, ou rumaient l’air saint des banlieues marines. Sur le sable fin rincé par la vague et gorgé d’eau, des pirogues peintes naïvement attendaient leur tour d’être lancées sur les eaux. Dans leur coque nuisait de petites flaques bleues pleines de ciel et de soleil. Quelle affluence les jours de fête. De nombreuses familles, assoiffées d’espace et d’air pur, déambulaient. Les gens se dénudaient sans complexe, tenté par la caresse bienfaisante de al brise iodée et la tiédeur des rayons solaires. Des fainéants dormaient sous les parasols déployés. Quelques gamins pèles et sceaux en main, baptisaient et démolissaient les châteaux de leur imagination… Les bons moments qu’il passait avec sa famille, les farces, les fêtes entre copains, les rigolades et tout étaient de très beaux souvenirs. Il était loin d’être trop tard de revivre ses moments. Il fallait tout simplement affronter la vie tel qu’elle ait et être courageux.

On se demande même dès fois pourquoi l’amour existe ? Mais l’amour a plus de côtés avantageux que de désavantages. Chaque relation peut être évaluée en des termes de "bonne pour moi" ou "mauvaise pour moi". Les partenaires amoureux, par exemple, peuvent évaluer leur relation en estimant combien elle augmente ou diminue leur bien-être et leur bonheur. Une relation d'amour romantique libre de sacrifice permet aux deux partenaires de satisfaire leurs besoins physiques, émotionnels et intellectuels plus efficacement. Cette efficacité additionnelle est un avantage et un plaisir majeur de la vie. Ainsi, à long terme, une personne peut honnêtement aimer uniquement ceux qui offrent avantages de plaisirs. L'amour et la haine sont deux choses naturelles qui existent en chacun de nous. C’est deux attitudes extrêmes que possède l'homme dont la conduite et les réactions sont guidées par l'instinct en face de l'amour et de la haine. Cependant, on se questionne sur le degré de raison qui pourrait être employé face à ces deux attitudes. Au fond, est-il possible et, encore plus important, est-il nécessaire de rationaliser l'amour? L'emploi de la raison dans une relation amoureuse ne veut pas dire qu'on doit supprimer la passion, l'affection et l'émotion, ni mesurer l'amour à l'utilité, aux valeurs et au coût. Au contraire, cela signifie plutôt que le mouvement de la raison et de l'intelligence est de se donner sa limite à lui-même; il ne faut pas totalement se laisser conduire par les mouvements des sens ni par ceux de l'instinct. L'important est d'appliquer la raison aux conséquences possibles des actions suivant l'amour; il s'agit donc d'aimer passionnément mais pas comme un fou! D'autre part, la société et l'environnement imposent à l'homme, dès sa jeunesse, l'idée d'haïr la personne qui nous abandonne après une relation amoureuse et de se venger contre cette personne. De plus, nous nous induisons nous-mêmes à croire que des actes qui en réalité incarnent la haine, viennent de l'amour, de la justice ou d'un autre mobile sublime. La haine dégénérée par l'amour est un sentiment violent qui pousse à vouloir faire du mal à quelqu'un et à se réjouir de sa souffrance. Ce sentiment est donc considéré comme immoral et la vengeance n'est pas une bonne façon de régler le problème ni de retrouver la paix. Si tout le monde pouvait penser comme ça tout changerait. Même dans la vie de Michael.
Il était entrain de rêver et à un moment, une voix lui dit tout doucement qu’il était temps de se lever. Après quelques minutes, il ouvrit les yeux. A première vue, il avait vu un mur blanc. Il se demandait bien sûr ce qu’il faisait là. Il voulait tourner la tête mais en était incapable. Il avait toujours les yeux ouverts fixés sur le plafond. Il bougea les doigts et ouvrit la bouche.

« Que se passe t’il ? Qu’est ce que je fais là ? »

30 min après, Sharona rouvrit les yeux. Elle n'avait pas vraiment bien dormi mais c'était reposer un minimum.
Elle se leva un peu pour se dégourdir les jambes puis s'avança vers le mur et s'appuya dessus en regardant le jeune homme.
Il n'était plus comme avant, il devait dormir cette fois, sans cauchemar, sans pensées désagréables et tristes.

Après quelques minutes, elle décida de sortir un peu sur le minuscule balcon qu'il y avait. L'air la raffraichissait, le vent faisait volait ses cheveux en arrière. Au loin, on pouvait apercevoir l'immense centre commercial. Elle y resta assez longtemps pour se raffraichir les idées puis rentra.

La belle se rassit dans le fauteuil et regarda de nouveau le jeune homme. Tout a coup, il rouvrit les yeux et se mit à parler. Il allait bien, non façon de parler, il parlait, il se rendait compte des choses.
Sharona se rapprocha de lui et lui dit

-Vous avez eu un accident et c'est pour cela que vous etes ici.

Michael ne savait vraiment pas ou il en était. Il était assis sur un lit tout blanc, avec quatre murs au tour. En regardant par la fenêtre il voyait plein de gens en blanc et des gens qui couraient par si et par là.

S'était plutôt prévisible. Il était inconscient depuis hier au moment de l'accident du moins au moment ou Sharon l'a quitté. Il cligna les yeux et essaya de faire un effort pour bouger. Il avait réussis à tourner la tête. Il fut sidéré quand il vu un plâtre sur sa main. Il essaya de bouger les pieds mais sentit une très grande douleur. Il passa ensuite sa main sur sa tête et sentit un bandage. Il vit ensuite un fil qui reliait sa veine et un liquide qui ressemblait à du sérum.

S'était alors évident pour lui maintenant. Mais il ne savait toujours pas ce qu'il faisait là. Il ne se rappelait vraiment de rien. Il n'avait pas encore remarqué la jeune femme qui tait dans la même pièce que lui. Pendant un instant, il sentit une porte s'ouvrir mais ce n'était sûrement pas la porte d'entrée puisqu'elle était restée fermée. Il se demandait bien ce que s'était.

Il essaya de comprendre et un instant plus tard, il sentit des pas se rapprocher vers lui, il y avait sûrement là avec lui pensa t'il. Il entendit par la suite une voix qui lui disait qu'il avait eut un accident et c'est pour cela qu'il était là. A l'entendre s'était une voix de femme. Michael voulait faire un mouvement pour voir son visage mais n'avait pas assez de force pour ça.

Revenons en aux faits. Il n'arrivait pas a assimiler tout ça d'un seul coup. Il avait donc eut un accident. Il essaya de se rappeler mais rien. Il essaya alors de prendre son calme et ferma es yeux pendant un instant. Des images défilaient dans sa tête à ce moment là. Il voyait un camion, et la voiture qui avait fait un tonneau et lui dedans. D'ailleurs pour lui il avait de la chance de s'en être sortit vivant après un tel choc... Il ré ouvrit les yeux d'un mouvement brusque et ouvrit la bouche.

"Mais qui êtes vous?!"

Michael devrait se montrer courageux face à cette situation. Maintenant il se rappelait de tout. Il n'arrivait vraiment pas à le croire. Comment a t'il pût réagir de la sorte à cause d'une femme...s'était vraiment stupide de sa part.

Là on le reconnaissait vraiment. S'est le Michael qui ne se laissait pas abattre pour quelque chose. Peut être que l'autre jour, il était quelqu'un d'autre...vraiment il ne comprenait pas pourquoi il avait agit ainsi.

Il finit par se retourner et resta bouche bée quand il vit la fille qui se trouvait là. D'après ses souvenirs, il l'avait souvent vu avec els bitchs. Elle en faisait sûrement parti mais Michael avait quand même un petit doute sur ça car les bitchs ne serait pas capable de faire ça vraiment. Après un long moment de silence assourdissant il finit par dire.

"Mais il me semble vous avoir déjà vu...ou peut être que s'était un simple mirage...avec les bitchs...et d'ailleurs pourquoi vous êtes là? Vous ne me connaissait même pas..."

Là il ne comprenait vraiment pas. Normal d'avoir posé toutes ses questions. Il voulait vraiment que les choses soient claires.

Michael sentit quelque chose le gêner alors il mit ses mains dans ses poches et en sortit son portable. Se portable était vraiment très résistant pour être dans cet état après un tel choc Il était en très mauvais état mais il était assez bon pour lire ses messages et appeler....

Il avait l'air de retrouver les souvenirs de son accident petit à petit.
Des questions, voilà de quoi sa tete devait etre remplit, de questions. Ces questions qui n'ont jamais aucune réponse, ces questions qui nous pourissent la vie, ces questions interminables.. Sharona en était remplit de ces questions.

Qui était-elle? Que faisait-elle dans un groupe? Pourquoi tous les gens sont obligés de croire qu'il faut etre beau ou belle pour réussir dans la vie? Traité quelqu'un de moche ne vous rendra pas plus belle, traité quelqu'un d'idiot ne vous rendra pas plus intelligent, pourrir la vie des gens est-ce-que cela avait changé quelque chose en Sharona, ce sentait-elle plus heureuse? Pas vraiment. Pourquoi avoir accompagné ce basketteur blessé à l'hopital alors qu'elle ne le connaissait pas du tout et qu'au fond il n'était rien à part un beau gosse pour elle? Peut etre seulement pour pouvoir se prouver qu'elle n'était pas méchante, elle s'inventait un style pour cacher ses blessures les plus profondes. Qui était occourant que c'était une fille avec une grande bonté à par les infirmières qui l'avaient vu veillé sur le jeune homme? Qui croirait qu'une bitch's était comme cela?
Elle tourna ses yeux vers ce jeune homme et dit

-Je suis Sharona Stevens.

Elle le laissa dans son silence. Elle le respectait après tout, encaissait totu cela d'un coup ne devait pas etre une chose simple. Il fallait avoir un esprit fort et un sacrè courage pour se retrouver comme cela. Surtout après ce qui lui était arrivé, il devait se doutait qu'il ne referait pas de basket pendant un moment et le basket c'était tout pour un basketteur. C'était comme une drogue ou un destressant, jamais au plus grand jamais vous ne verrez pas jouer un basketteur au moins une fois dans la journée.
Elle eut un mini sourire à la question du jeune homme, après tout, lui il pouvait avoir des réponses, pourquoi s'en passerait-il?

-C'est moi qui est vu l'accident, qui a appelé l'ambulance alors je ne me voyais vraiment pas repartir comme une sauvage..

*Et surtout, oui je suis quelqu'un de bien, une bitch's peut-tre mais sont-elles forcées d'être méchante et sans coeur?*

Elle le pensa si fort qu'elle se demandait meme si le jeune homme ne l'avait pas entendu. Une pensée, dès fois, cela arrangerait tellement de monde si les pensées pouvaient etre transmises.
Elle se leva et marcha un peu puis mit ses mains dans les poches arrières de son jean puis se tourna vers le jeune homme et lui demanda

-Mais le plus important, c'est comment vous sentez vous?

Tout d'un coup Sharona comprit quelque chose. Elle passait son temps à se poser des questions débiles du style qui vais-je faire craquer aujourd'hui avec cette tenue. Mais en réalité, la vie, le bonheur, les questions qui rassuraient le plus c'était plutot comment vas-tu? Son comportement, ses manières n'étaient autres qu'un style et un style pour quoi faire? Pour oublier, oui son style à elle s'était pour oublier...

Michael écouta ce qu'elle venait de dire. Elle s'appelait Sharona. Il fit beaucoup d'effort pour acquiescer d'un signe de tête. Michael se demandait bien ce qu'elle faisait là mais n’allait sûrement pas tarder à le savoir.

Il retourna sa main car la position précédente était loin d'être confortable et ça lui faisait un peu mal. Il espérait vite se rétablir car impatient comme il est il ne voudrait pas rester dans ce lit d'hôpital trop longtemps. Et puis il aurait bien aimé connaître els diagnostics et savoir quand il pourrait rentrer chez lui.

Michael se retourna vers la jeune femme quand elle lui dit que s'était en résumé grâce à elle qu'il s'en était sorti. Michael resta un moment sans rien dire. A dire que si elle n'était pas là-bas au moment de l'accident Michael serait peut être mort.

Il s'efforça de lui faire un sourire amicale et voulu lui dire quelques mots.

"Je vous remercie beaucoup de m'avoir sauvé la vie..."

Il avait eut une petite douleur sur la côte mais essaya de la surmonter pour terminer sa phrase.

"Je ne sais vraiment pas quoi faire pour vous remercier...si seulement tout le monde était comme vous. Je vous revaudrais ça. D'ailleurs vous ne savait pas quand est ce que je pourrais sortir d'ici."

Michael espérait qu'elle allait pouvoir la renseigner sur ça. Il regarda vers la fenêtre et vit comme tout à l'heure des gens courir et des médecins. Déjà l'odeur de l'hôpital lui donnait mal à la tête.

"J'espère que c'est bientôt car j'ai horreur d'être dans ce genre d'endroit."

Il essaya de trouver le numéro d'un de ses amis pour l'appeler mais il était effacé. Peut être que des données ont étaient supprimées lors du choc. Le téléphone devenait presque fou alors il laissa tomber. Quand elle lui demanda comment il allait, il se retourna vers elle et lui dit.

"J'ai quelques petites douleurs mais ça va bien...du moins je crois que ça peut aller du moment ou je m'en suis sortit vivant."

Le plus dure à était surmonté alors il ne se faisait pas grand soucis.

Elle eut un sourire, si tout le monde était comme elle? Le monde tomberait en ruine sans doute, de la voir comme cela, gentille, sans aucune réfléxion pour la première personne qui passe, c'était rare ou meme casi impossible. Personne ne l'avait vu comme cela à part lui....

Sharona le comprenait très bien. Elle aussi avait une sainte horreur des hopitaux, c'était trop de mauvais souvenir à la fois mais elle ne laissait rien paraitre sur son visage, ni tristesse, ni malheurs... Et apparament elle n'était pas la seule à les détester comme cela.
Elle lui dit

-Je ne sais pas mais le médecin devrait bientot venir il pourra vous renseigner.

Elle le regarda faire avec son portabe puis lui demanda

-Il y a peut-etre quelqu'un que vous voulez que j'appelle? Votre petite amie par exemple?

Elle le regarda de ses beaux yeux verts. Il avait l'air d'aller bien, non plutot d'aller mieux mais Sharona ne pouvait s'empecher de voir une ombre de tristesse dans les yeux du jeune homme. Cette tristesse était depuis le début sur son visage. Sharona se rassit sur la fauteuil à côté du lit et lui demanda car depuis tout à l'heure une question lui trottait dans la tête

-Comment vous appelez vous?

Elle en avait des milliers d'autres, mais autant aller à la plus simple. Elle ne pensait pas qu'il est envie de revivre l'accident avec les questions qu'elle se posait.

Michael attendait avec impatiente la venue du médecin pour qu'il sache combien de temps il allait pouvoir supporter tout ça. Il n'aurait pas dit non si on lui proposait de sortir aujourd'hui mais il sait très bien qu'il lui fallait quelques heures de repos sans rien faire avant de rentrer chez lui. D'ailleurs il aurait bien aimé qu'une personne vienne l'aider chez lui car il ne pourrait pas se débrouiller tout seul. IL fit un soupir et regarda la jeune femme quand elle lui posa une question. Michael la regarda et lui dit.

"Non non ce n’est pas grave. Je n'en ai pas besoin pour le moment."

Michael aurait bien aimé que Sharon soit là mais d'un autre côté non car il ne voulait pas qu'elle se fasse du soucis pour lui d'ailleurs il ne le méritait pas.

"Merci quand même."

Il la suivit du regard quand elle s'installa sur le fauteuil à côté de lui. Elle était vraiment gentille cette fille pensa t'il. Lui consacrer de son temps alors qu'elle avait sûrement d'autres occupations.

Quand elle lui demanda comment il s'appelait, il lui dit.

"Michael, Michael Scott, et vous?"

Au même moment, un médecin entra dans la salle. Il expliqua à Michæl toutes les choses qu'il se demandait. Il fut rassuré car le médecin lui avait dit qu'il lui fallait que du repos et que tout allait bien se passer. Il pourrait sortir alors le lendemain mais sous surveillance chez lui. Il le remercia et le vit sortir.

"Je vais pouvoir sortir demain formidable! D'ailleurs je m'excuse de vous avoir prit votre temps. Si vous voulez partir allez y."

Il était un peu gêné pour ça.

Besoin de personne lorsque l'on est à l'hopital? Sharona en doutait. Soit il voulait éviter quelqu'un, soit il voulait réfléchir sur cette personne meme. Peut-etre avait-il besoin de réfléchir seul? Peut-etre voulait-il que Sharona s'en aille? Peut-etre qu'il ne savait pas comment lui dire? Ou peut-etre pas? Et pourquoi autant de questions de nouveau dans sa tête? Et une de plus qui se rajouté. Elle en avait mal à la tête, dès fois elle aurait voulu taper son front contre un mur et tout oublier, oui tout oublier. Ses erreurs, son bonheur, ses rencontres, ses clans, oublier tout cela, sombrer dans l'innocence de ne savoir que son prénom, d'etre seulement capable de regarder la télé, de ne pouvoir dire un mot ou de ne vouloir dire un mot...

Elle revassait encore lorsque le médecin arriva et donna le diagnostic à Michael. Elle était heureuse de connaitre le prénom de celui-ci maintenant. Non mais attendait, heureuse de connaitre un prénom? Sharona se réjouissait juste pour cela? Bientot, elle se mettrait à danser lorsque l'on lui apprendra que son père est à Miami et qu'il veut la voir.
Elle était aussi heureuse pour son diagnostic. Après tout, il en fallait du miracle pour qu'il est la possibilité de sortir dès demain! Elle se rendit compte de quelque chose, qui le ramenerait chez lui le lendemain? Après tout, il n'avait prévenu personne et ne voulait prevenir personne.

Après que le médecin soit partit, elle tourna ses yeux vert et regarda Michael avant de lui dire:

-Vous navez pas besoin de vous excuser, si je suis venue c'est que cela ne me dérangeait pas..

*Et puis je ne suis pas une bitch's cruelle* pensa-t-elle

-Si vous voulez demain, je peux vous ramener, je doute que le médecin vous laisse repartir seule.

Elle eut un sourire

Michael fut ravi qu'elle ne lui en veuille pas d'avoir prit tout son temps de libre. Il lui fit un sourire sincère avec le peu de force qu'il lui restait. Quand elle lui proposa de l'accompagner chez lui demain lors de sa sortie, il la regarda et lui dit.

"C'est vrai que le médecin ne vas pas me laisser sortir tout seul...ça serait vraiment très gentil de votre par je vous remercie d'avance."

Michael la trouvait très sympa. Il se regarda et se rendit compte qu'il avait toujours ses habits lors de l'accident sous cette robe blanche que l'on donnait aux patients. Il espérait vite rentrer chez lui pour se changer. MIchael s'était rendu compte qu'il avait beaucoup de chance de s'en être sorti vivant et d'avoir prit connaissance aussi rapidement. Son père serait fier de lui en le voyant aussi courageux mais ne voulant pas leur faire de la peine il ne préféra rien dire.

Michael avait passé une bonne nuit sans cauchemar. Tout était vraiment nickel à part les petites douleurs qu'il avait. Ce matin, le médecin tait passé pour lui faire remplir une fiche pour la facture et des renseignements sur lui. Une infirmière était passée pour enlever les fils et lui enlever cette robe. Il avait porté son adel pour maintenir la main ou il y avait le plâtre. Sa blessure au pied n'était pas trop grave c'est pour cela il n'avait pas de plâtre. Il avait une simple béquille. ça lui faisait bizarre de se voir comme ça avec tout ses déguisements. L'essentiel c'est qu'il arrivait à marcher.

-De rien c'est normal

Elle lui sourit gentiment puis reçu un message sur son portable. C'était Kelly qui voulait lui parler, elle s'inquiétait de ne pas l'avoir vu dans tout Miami aujourd'hui. Elle eut un sourire, c'était bien Key ça.
Elle se leva et dit à Michael

-Je suis désolé, faut que j'y aille, une amie veut me voir mais je reviens demain comme promis.

Elle le salua, lui sourit puis partit vers la porte. Il avait sans doute meme certainement besoin de se reposer et de réfléchir. Elle continua de descendre les escalirers puis sortit de l'hopital. Elle se retourna une dernière fois, ravie de savoir Michael entre de bonnes mains et surtout en bonne santé, ou à peu près. Elle repartit à pied vers le cinéma qui était à deux pas, Key l'attendait.

Le lendemain, Sha' se dirigeait vers l'hopital avec sa décapotable. Elle était reposée et rayonnante par rapport à hier. Elle finit par se garer dans la parking de l'hopital. Sha' sortit de sa voiture habillée d'un jean parfaitement bien taillée pour elle et d'un haut noir légèrement décolleté.
Elle rentra dans l'hopital puis se dirigea vers la chambre de Michael. Sha' remarque que le medecin sortait juste de la chambre de Michael.
Elle frappa et ouvrit la porte. Michael était debout et avait l'air plus reposée qu'hier. Elle lui dit

-Salut.

En regardant sa main et sa jambe, elle lui demanda

-Ca va mieux?

Après quelques minutes, il vit sharona venir. Il était ravi de la revoir.

"Ah tu es là! Salut!"

Michael s'efforça de se lever et alla lui faire la bise.

"Oui ça va beaucoup mieux. Je vais enfin sortir. J'ai vraiment hâte de rentrer chez moi et de retrouver mes amis. Je sais que je ne vais pas vivre comme avant mais quand même je n'aurais plus à rester dans cet hôpital."

Ce qui le touché plus c'est qu'il savait très bien qu'il n'allait plus rejouer au basket comme avant, avant quelques semaines de repos pour se rétablir.

"Je trouves ça plutôt dommage de ne plus pouvoir jouer avec les autres dans notre équipe de basket, j'espère que je vais vite me rétablir."

Il se dirigea vers la sortie de la chambre et avant d'en sortir il dit.

"En tout cas cette chambre là ne risque pas de me manquer au contraire."

Il sortit de la chambre en direction de la sortie.

Sharona sourit. C'était sur à présent, Michael détestait autant les hopitaux qu'elle. Sh'a sétait toujours demandé comment les médecins, les infirmières et autres faisaient pour vivre dans un endroit où la mort était présente. C'était étrange, de vivre dans un endroit ou la mort était présente mais aussi où la vie avait sa place.
Quoi qu'il en soit, elle n'aimait pas les hopitaux, que la vie y soit ou meme la mort, elle en avait une sainte horreur.
Elle entendit Michael parler de basket et lui dit

-Tu pourras y rejouer, c'est sur pas pour le moment, mais vu la volonté qu tu as, je doute que tu restes longtemps sans faire de basket!

Elle eut à peine finit sa phrase que Michael était déjà sortit. Décidément, il était préssé. Elle eut un sourire et lui dit

-Mais attend tu ne sais meme pas où se trouve ma voiture et puis faut que je passe au secrétariat d'abord.

Lorsqu'elle le vit enfin s'arreter, elle lui sourit et se dirigea vers le secrétariat. Elle parla quelques minutes avec la secrétaire et lui glissa une enveloppe. Oui, elle avait payé l'hopital pourquoi? Tout simplement parce-qu'elle en avait les moyens et qu'elle n'avait pas envie de laisser Michael payait cela. Il aura d'autres choses à payer comme les séances de réeducation inévitable alors si il avait l'hopital en moins se serait la meilleure des choses.

Elle s'approcha de lui avec un sourire. A son regard "qu'est-ce-que tu lui as donné?", Sha' lui dit avec un sourire malicieux

-Quoi?

Elle n'attendit meme pas sa réponse et passa devant lui sachant très bien qu'il la suivait. Elle était fière de ce qu'elle avait fait mais est-ce-que en sortant de l'hopital aurait-elle le meme caractère avec les gens? Serait-elle capable de se montrer sympthiqe avec des intello's par exemple? Après tout rien ne l'empecher de faire un effort mais il fallait déjà qu'elle soit persuader elle-meme qu'elle pourrait changer. Sa mère adoptive lui avait toujours dit "Sharona les gens ne changent jamais". Et si c'était vrai? Peut-etre que Sharona ne changerait jamais après tout.

Arrivée à sa décapotable, elle remarqua que Michael n'avait pas quitté le regard du "qu'estce-que tu lui as donné?" mais tant pis. Elle le laisse monter puis rentra dans la voiture à son tour et lui demanda

-Alors je te dépose ou?

Michael la vit aller vers le secrétariat. Michael ne savait pas pourquoi elle y allait. Il la regarda l'air sidéré. Il ne savait pas pourquoi elle était partie là-bas. Il ne dit rien et attendit. Il allait lui demander de toute façon ce n'était pas le genre de mec qui laissait tomber. Il voulait toujours des réponses à ses questions et ça à n'importe quel prix.

Arrivé dehors, il la suivit jusqu'à sa voiture. Il l'observa un moment et se tourna vers elle pour lui dire.

"Belle voiture! J’avoue que tu as bon goût. Moi la mienne je l’ai sans doute perdu"

Michael lui fit un sourire et entra dans la voiture. Quand elle lui demanda ou elle devait le déposer, il se tourna vers elle et lui dit.

"Madison Avenue, c'est pas trop loin d'ici."

Michael ne lui avait toujours pas posé cette question. Après un long moment de silence il finit par dire.

"Qu'est ce que tu faisais tout à l'heure au secrétariat?!"

Il espérait qu'elle allait lui donner une réponse. Pour la supplier il la regarda avec une tête de chien battue.

[hj: tu peux faire la suite chez moi! Mais je ne répondrais peut être pas d'ici une semaine à moins que tu postes le matin]

Elle se mordit la lèvre inférieure et lui dit

-J'avoue que va falloir que tu mettes de l'argent dans une autre voiture

Elle démarra le moteur et partit enfin de cet hopital. Sha' en était ravie et Michael devait l'etre aussi. Elle continua de rouler sans un mot jusqu'au moment où Michael lui demanda ce qu'elle avait fait au secrétariat. Elle ne put s'empecher d'avoir un sourire malicieux. Lorsqu'elle tourna la tête , elle remarqua que Michael essayer de l'avoir alors elle lui fit

-Juste des affaires à régler

Elle laissa une pointe de mystère dans sa voix puis mit un peu la musique. Après 20 min, ils étaient enfin arrivé chez lui.

chez le père noel tiens Razz

[bah alors bonne vacances ^^]